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Aujourd’hui, Hiloula de Rabbi Elazar Abi’hssera

Rabbi Elazar Abi'hssera, surnommé “Baba Elazar” est né en 1948 dans la célèbre  famille Abi'hssera dont la plupart des membres étaient et sont des kabbalistes ou des Rabbanim reconnus. Rabbi Elazar était le fils de Rabbi Meir Abi'hssera, et le petit-fils de Rabbi Israël Abi'hssera plus connu sous le nom de “Baba Salé”.  Son frère est le Rav David 'Hai Abi'hssera, qui habite dans le nord d'Israël dans la ville côtière de Naharia. Son oncle est le Rav Baroukh Abi'hssera, aussi connu sous le nom de “Baba Baroukh”, et considéré comme le successeur de Baba Salé. Baba Elazar vivait à Beer-Cheva, et sa présence attirait de très nombreuses personnes qui voulaient obtenir ses bénédictions.

Baba Elazar, comme ses ancêtres, était un grand leader du peuple juif fortement impliqué dans l'étude des secrets de la kabbale. Les histoires sur sa personnalité et ses bénédictions témoignent qu'il possédait des pouvoirs spéciaux.

Bien que Baba Elazar recevait de très nombreuses personnes dans sa maison, peu d'hommes ont pu le voir. Il faisait extrêmement attention à ses yeux, sa tête était toujours penchée vers le bas et un manteau noir recouvrait la majeure partie de son visage. Ses visiteurs voulaient le combler de bienfaits mais il a toujours refusé d'en profiter personnellement et a choisi de poursuivre la vie simple qui était la sienne depuis son enfance.

Orphelin très jeune, il a passé sa jeunesse en compagnie de son père et de ses frères dans la ville de Rissani au Maroc. En 1966, la famille monte en Israël et s'installe à Ashdod. Par la suite, il étudie dans la Yechiva Rambam à Tel-Aviv dirigée par un proche de son grand-père, Rav Avraham Hafouta, puis à la Yechiva Porat Yossef de Jérusalem, d'où sortira des années plus tard, sa procession funèbre.

Le frère de son grand-père, Rabbi David zatsal, a également quitté ce monde de façon tragique au début du siècle dernier. Alors que le chef du district menaçait de tuer tous les juifs, il s'était dévoué et avait été assassiné, épargnant ainsi à tous ses frères le terrible décret.
Il est certain que la mort des justes est une expiation pour la génération, et que le départ de ce Tsadik a permis d'annuler des décrets qui auraient pu frapper notre peuple.

Que son souvenir soit une bénédiction.

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